Remplacer « sales cyclistes » par « sales juifs » donne tout de suite un reflet intéressant…
Les cyclistes font effectivement comme ils peuvent, dans des villes où ils ne sont clairement pas (encore?) les bienvenus.
Il est, de fait, intéressant de comparer deux villes d’un même pays (Bâle et Genève) et de voir que l’usage du vélo est fonction des infrastructures.
On observe la même chose en Belgique : par exemple, allez rouler à Liège et à Anvers…